La méthodologie dynamique
Méthodologie de contrôle non destructif dite « dynamique » par génératrice
de rotation.
Ouvrages concernés : mâts d’éclairage public,
mâts de signalisation lumineuse, mâts d’infrastructures sportives, hauts mâts, très
hauts mâts, poteaux supports caténaires, portiques, potences, pylônes monotubes :
bipodes, tripodes…, poteaux de marquises, etc.
Tout matériau : acier, aluminium, béton, fonte, bois, fibre.
Toute hauteur : jusqu’à 45 mètres et plus.
L’effet dynamique se propage sur les 360° de la circonférence de la structure,
et ce sur toute sa hauteur, jusqu’à atteindre sa fréquence propre sans qu’aucun effort horizontal ou tranchant ne soit appliqué.
Ce procédé peut contrôler tous types d’ouvrages, des plus solides au plus fragiles, des plus simples aux plus complexes,
de grande hauteur, de forte inertie, difficilement accessibles.
La méthodologie par simulation
Méthodologie de contrôle non destructif dite « par simulation »
Ouvrages concernés : ancrages avec filin (luminaire, illuminations festives, etc.), ancrages
de console, ancrages supports caténaires, ancrages positionnés sur façade, en voûte, en potence, etc.
Tout matériau : béton, pierre, parpaing, granit, moellon, etc.
L’effet simulé est appliqué dans le sens de l’usage des ancrages et selon une tension de référence préalablement calculée.
Les tensions de référence à appliquer sont établies à partir d’un référentiel normatif et d’un logiciel de
calcul spécifique.
La méthodologie statique dynamique
Méthodologie de contrôle
non destructif dite « statique dynamique »
Ouvrages concernés : rambardes, garde-corps, clôtures, mains courantes, balustrades,
parapets, mâts d’éclairage public, etc.
Tout matériau : acier, aluminium, béton, fonte, bois, fibre.
En fonction du type d’ouvrage à contrôler, l’effet statique dynamique associe un ou deux (à 90°) contrôles statiques
à un contrôle dynamique par oscillation. L’effort à appliquer est établi à partir d’un référentiel normatif et d’un logiciel
de calcul spécifique.